La rencontre avec Santiago Amigorena était l’un des événements de la première semaine du FIFDH. L’écrivain, scénariste, cinéaste et membre du jury évoque le récit qu’il a consacré à son grand-père, émigré à Buenos Aires, mais dont la famille restée en Europe a succombé lors de la Shoah, et qui se réfugie dans le silence et l’oubli.
L’écrivain a mis des mots sur ce silence (« Le Ghetto intérieur »). Il nous parle de son travail, de l’émigration, des identités, des malheurs du temps et de notre attitude. Une méditation sur l’exil, la mélancolie et le rôle de la parole dans la transmission de l’histoire.
Entretien passionnant proposé par le FIFDH, la Fondation Jan Michalski pour l’écriture et la plateforme Genève Vision. Animé par la journaliste Salomé Kiner