Un travail manuel plus important nécessaire pour la production des produits biologiques explique en partie l’écart des prix, mais pas seulement. « Le Point J » vous détaille pourquoi avec les explications de Barbara Pfenniger, responsable alimentation à la Fédération romande des consommateurs (FRC).
Le Point J / 7 min. / 15.08.2021
L’agriculture biologique demande un travail plus important. Il faut par exemple arracher les mauvaises herbes à la main, ou encore séparer les flux. « Ce que nous avons constaté à la FRC, c’est que ces différences de prix dépassent cet effort supplémentaire », relève toutefois la responsable alimentation de la Fédération romande des consommateurs, Barbara Pfenniger.
Selon une enquête réalisée par la FRC en collaboration avec les équipes de l’émission « On en Parle » de la RTS, les prix des produits bio incluraient des marges nettement plus élevées que les produits non bio. « Une part plus importante du produit payé par les consommateurs part en fumée sur le chemin », ajoute-t-elle.
Gabriela Cabré et l’équipe du Point J