Ecarts salariaux, violences sexuelles, répartition des tâches ménagères… les inégalités demeurent nombreuses entre les femmes et les hommes. Peut-on être féministe, dès lors, sans être en colère? Le Point J pose la question à Sarah Gandillot, rédactrice en chef du mensuel Causette, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes le 8 mars.
« Il y a beaucoup de raisons d’être en colère mais il y en a aussi d’être dans la joie parce que cette colère génère de grands changements. Le mouvement MeToo par exemple a permis la fin de l’impunité et une prise de conscience assez massive », note la Parisienne.