Le Conseil fédéral a fait son choix, approuvé par la majorité de l’opinion publique. Mais la question est bel et bien posée, et fait débat. Ne risque-t-on pas de perdre notre statut, largement reconnu, de médiateur international? Notre politique des « bons offices » a-t-elle un avenir? La Genève internationale ne risque-t-elle pas de perdre son attrait?
Claire Braillard explore le concept. Et d’abord, l’histoire. Peut-elle nous aider à appréhender les temps présents ? Elle y répond. En compagnie de l’historien Antoine Fleury, de l’Université de Genève, de Sacha Zala, directeur des Documents diplomatiques suisses, et de Micheline Calmy-Rey, ancienne conseillère fédérale.
Voir aussi : le second épisode: la politique de neutralité et ses défis