Le président de la Confédération a fait le job. Accueillant les présidents Biden et Poutine comme il se doit, un mot pour chacun, en anglais et en russe, orchestrant la mise en place, s’éloignant au bon moment pour que Biden et Poutine se serrent la main, après quelques secondes d’hésitation.
« Genève, ville de paix », dit Guy Parmelin, formule à la fois banale et si juste. Le président a su aussi rappeler bien à propos que la Suisse pouvait toujours jouer un rôle dans les relations internationales.
L’exercice n’était pas si facile et l’enjeu de taille. Mais un exercice réussi pour ce conseiller fédéral que certains critiquaient un peu vite, et visiblement, à tort.
Le « 19h30 » a suivi le président. Un récit, et des images parlantes.