Genève est naturellement la capitale de la paix. Elle l’est encore plus cette semaine avec la Geneva Peace Week qui réunit toutes les organisations et tous ceux qui œuvrent dans le domaine.
La paix n’est déjà pas simple habituellement, elle est un objectif plus rude encore à atteindre dans cette période de tensions géopolitiques, de guerres commerciales et d’urgence climatique. La pandémie de Covid-19 est venue s’ajouter à toutes ces difficultés.
Le métier de « faiseur de paix » est plus complexe que jamais et la semaine est l’opportunité d’étudier les outils à disposition pour la réussir : les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, l’inclusion de la société civile, ou la diplomatie dite scientifique, prônée par le conseiller fédéral Ignazio Cassis, présent lundi à la session d’ouverture au Graduate Institute Geneva.
La semaine est organisée par plusieurs ONG dont Interpeace, créée en 1994.
It was a pleasure to participate in the opening ceremony of the @GenevaPeaceWeek. #GPW21 This annual event is a great opportunity to explore possible solutions to some of our current
challenges. I wish participants many fruitful discussions. https://t.co/Ajh2mLDfRn https://t.co/irGe2LKRvo pic.twitter.com/Lj2bCObUXF— Tatiana Valovaya, Director-General of UN Geneva (@UN_Valovaya) November 1, 2021
La Fondation Hirondelle s’associe à l’initiative et a produit un podcast en 10 épisodes. Chaque épisode couvre un sujet discuté pendant la Semaine de la Paix de Genève 2021, tel que « Les droits numériques en Afrique », « Le COVID et la violence dans le monde numérique », « Traiter les traumatismes pour la consolidation de la paix », ou « Protéger les espaces en ligne pour la démocratie ».