C’est Patrick Aebischer qui le dit. Vice-président du GESDA (le Geneva Science and Diplomacy Anticipator) qui organise son premier sommet à Genève, le scientifique plaide pour que chercheurs, politiques et diplomates travaillent ensemble à définir les enjeux de demain. Et qu’ils soient prêts à y répondre.
Le sommet sera l’occasion de présenter le « radar », sorte de tableau prédictif qui devrait préciser ce qui attend le monde, ce qui se prépare dans les laboratoires et ce qui est susceptible de bouleverser nos vies.
Pour l’ancien président de l’EPFL, Genève est bien le lieu idéal pour cette réflexion qui doit aussi conduire les acteurs à mieux encadrer les développements futurs. Avec ses nombreux organismes internationaux, elle est la plus à même de réguler le monde de demain.
Le podcast de Laura Hunter.