Une plongée dans le cinéma iranien et une analyse de ce qu’elle révèle d’un pays en pleine révolution culturelle. C’est ce que propose Agnès Devictor, historienne du cinéma à Paris 1 Panthéon Sorbonne, et qui répond à Nina Khamsy de l’IHEID.
Elle explore notamment les référents visuels issus du chiisme, les représentations à l’écran de figures religieuses, la place centrale de la spiritualité dans le langage de grands réalisateurs tels que Kiarostami. Dans la série « Les entretiens de la Chaire Yves Oltramare ».