«Aider l’humanité à avancer en équilibre avec la nature» — Genève Vision, un nouveau point de vue

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Il tire un bilan très positif de la rencontre, qu’il qualifie de grand succès, et dit qu’il en est ressorti beaucoup d’inspirations. De comment «contrôler» les évolutions de l’intelligence artificielle à comment sauver les coraux. Le sommet a selon lui permis de «mettre ensemble une diversité d’opinions et une analyse très profonde pour envisager l’avenir.»

Pour Anders Meibom, «la connexion entre le travail scientifique et la diplomatie est essentielle, surtout quand il s’agit de nos défis et de nos problèmes environnementaux.»

Protéger la nature et nos écosystèmes, malgré la pression actuelle et la science est la meilleure manière de comprendre ce qui se passe. La science doit être connectée, utilisée par les gouvernements au niveau international, et source de dialogues à une large échelle. Et pour ça, il faut coupler la science à la diplomatie. Et que les gouvernements s’engagent et prennent leur part de responsabilités.

La nature appartient à tout le monde, mais les scientifiques qui étudient les problématiques, sont quand même les mieux placés pour faire des recommandations en la matière.

Corps marins et corps célestes

Dans ce podcast original de Genève Vision, il donne des pistes pour sauver le récif corallien, qui est vraiment sous pression au niveau mondial. Il faut avant tout réduire le réchauffement climatique, la pollution locale, maîtriser le tourisme et ses impacts, et la surpêche. Il faut d’abord agir au niveau local pour avoir des effets au niveau global.

En parlant des météorites, l’expert explique qu’il faut avant tout comprendre la formation de notre système solaire, il y a 4,5 milliards d’années, pour comprendre comment s’est formé notre planète. C’est le message qui est à la base de tout. «Les météorites sont des roches primitives qui ont énormément à nous apprendre, c’est passionnant.»

Un podcast de Laura Hunter